Âge : 38 Messages : 10 Date d'inscription : 26/05/2013 Emploi : Dirigeante de la ville Ma famille :
Sujet: Ana Mecelb Mar 11 Juin - 11:24
♦ Ana Mecelb ♦ ▬ Par Rose Mecelb ▬
♦ Qui suis-je ?
Salut ! Je m'appelle Ana Mecelb. Je suis née le 08 Septembre 1988 et j'ai donc 24 ans ! Je suis né(e) en France, à Montpellier et je suis Prima. Actuellement, je suis au choix depuis au choix et j'aime mon travail. Il parait que je suis généreuse, amicale et tendre mais surtout impatiente, grincheuse et émotive. Sinon, je mesure 170 cm pour 71 kg, je me trouve grosse. Mes cheveux sont bruns, frisés naturellement, pénible à coiffer. J'ai les yeux marrons, en forme de noisettes. Mes passions dans la vie sont la musique, le cinéma, les romans d'amour.
♦ Mon histoire
L'histoire est libre, mais doit coller à celle de Rose Mecelb, moi, sa grande soeur. Voici mon histoire, en spoiler :
Spoiler:
Née près de Montpellier, Rose grandit sereinement, autour d’une mère aimante et d’une petite sœur adorable. Le père, soldat pour l’armée française, est mort alors que Rose était encore un bébé. Parfois, Rose pense à lui, mais elle n’a pas gardé de séquelles particulières. Bientôt, la famille rejoindra Mecelb, la ville créée par les ancêtres de Patricia, que cette dernière avait quittée pour vivre aux côtés de son mari. La répression contre les Nihils est toujours aussi vive, et Rose grandit en entendant sa mère parler de politique toute la journée. Après la naissance d’Ana, la sœur de Rose, la maison est encore plus chaleureuse qu’avant. On y organise des banquets, des bals. À seulement cinq ans, Rose est déjà centrée autour de toutes les intentions : elle devra prendre la relève de sa mère quand le temps sera venu.
Au cours de son adolescence, Rose ne se passionne pas par les cours. Elle estime perdre son temps, enfermée au lycée, alors qu’elle aimerait simplement faire ce qu’elle aime : peindre et écrire. Elle occupe d’ailleurs son temps libre à ça, laissant trop souvent de côté ses devoirs. C’est ainsi qu’elle redouble sa Première, alors qu’Ana fait des miracles au collège. Rose souhaite vivre pleinement sa vie, aussi, elle décide, un soir de juillet, de quitter la maison familiale pour explorer sa propre ville, qu’elle connait finalement très mal. Elle y découvre tous les côtés sombres qu’on lui a toujours cachés : la misère des Nihils, dormant à même le sol, sans vêtements ; la maladie de certains enfants Nihils, dont les parents sont trop pauvres pour pouvoir les soigner. Cette vision sonne comme une alerte dans sa tête et Rose décide d’aider ces pauvres gens. Elle leur donne la totalité de son argent de poche. Cependant les Nihils ne voient pas cela d’un très bon œil. Tous pensent à un coût monté de la part des Mecelb pour humilier davantage ce qu’ils sont. Ils se mettent alors à frapper la jeune Rose, qui ne comprend pas un seul mot à cette histoire. Elle finit le visage en sang, elle reçoit même un violent coup de couteau dans la jambe, dont la cicatrice est encore présente, des années après. De retour chez elle, Patricia couve sa petite fille, jurant de faire la peau à ces Néants. Bien sûr, Rose n’explique pas pourquoi ils l’ont frappé, et elle comprend, après réflexion, qu’elle ne devra plus jamais se mélanger à eux. Elle les fuira d’ailleurs toute sa vie, sans se préoccuper de ce qu’ils font ni de ce qu’ils sont.
Le temps des premiers amours et premières peines est révolu pour Rose. À 19 ans, elle quitte la maison pour de bon et s’installe dans un quartier près du centre-ville, en compagnie de Lili, sa meilleure amie, avec qui elle noue une relation très intense. Rose, ne croyant pas au prince charmant, se contente alors de quelques aventures rapides, sans pour autant attacher de l’importance aux hommes qu’elle rencontre : c’est d’ailleurs réciproque. Elle esquive les réprimandes de sa mère quant à sa vie « à la Dom Juan » et est plutôt fier de faire craquer autant de garçons.
Rose prend les rênes de la ville à l’aube de ses 28 ans. Patricia, trop épuisée pour continuer à gouverner seule, préfère laisser faire sa fille. En attendant, Patricia prend des vacances bien méritées près de Paris, où elle retrouve quelques amis.
♦ Des liens ; plein de liens !
♦ Patricia Mecelb : Mère, relation amicale. ♦ Rose Mecelb : Grande soeur, relation amicale et très fusionnelle.
♦ Un bel avatar pour moi !
Avatar obligatoire : oui [] / non [x]
Voici un avatar possible pour Ana, mais il n'est pas obligatoire !
Âge : 62 Messages : 15 Date d'inscription : 05/05/2013 Emploi : Rédactrice de règlement Ma famille :
Sujet: Re: Ana Mecelb Sam 9 Nov - 17:00
It's your turn, baby
You didn't wait me, isn't it ?
feat : Lui & Moi
Itaque verae amicitiae difficillime reperiuntur in iis qui in honoribus reque publica versantur; ubi enim istum invenias qui honorem amici anteponat suo? Quid? Haec ut omittam, quam graves, quam difficiles plerisque videntur calamitatum societates! Ad quas non est facile inventu qui descendant. Quamquam Ennius recte. Sed maximum est in amicitia parem esse inferiori. Saepe enim excellentiae quaedam sunt, qualis erat Scipionis in nostro, ut ita dicam, grege. Numquam se ille Philo, numquam Rupilio, numquam Mummio anteposuit, numquam inferioris ordinis amicis, Q. vero Maximum fratrem, egregium virum omnino, sibi nequaquam parem, quod is anteibat aetate, tamquam superiorem colebat suosque omnes per se posse esse ampliores volebat. Et olim licet otiosae sint tribus pacataeque centuriae et nulla suffragiorum certamina set Pompiliani redierit securitas temporis, per omnes tamen quotquot sunt partes terrarum, ut domina.Saepe enim excellentiae quaedam sunt, qualis erat Scipionis in nostro, ut ita dicam, grege. Numquam se ille Philo, numquam Rupilio, numquam Mummio anteposuit, numquam inferioris ordinis amicis, Q. vero Maximum fratrem, egregium virum omnino, sibi nequaquam parem, quod is anteibat aetate, tamquam superiorem colebat suosque omnes per se posse esse ampliores volebat. Ibi victu recreati et quiete, postquam abierat timor, vicos opulentos adorti equestrium adventu cohortium, quae casu propinquabant, nec resistere planitie porrecta conati digressi sunt retroque concedentes omne iuventutis robur relictum in sedibus acciverunt. Hanc regionem praestitutis celebritati diebus invadere parans dux ante edictus per solitudines Aboraeque amnis herbidas ripas, suorum indicio proditus, qui admissi flagitii metu exagitati ad praesidia descivere Romana. absque ullo egressus effectu deinde tabescebat immobilis. Ibi victu recreati et quiete, postquam abierat timor, vicos opulentos adorti equestrium adventu cohortium, quae casu propinquabant, nec resistere planitie porrecta conati digressi sunt retroque concedentes omne iuventutis robur relictum in sedibus acciverunt. Et interdum acciderat, ut siquid in penetrali secreto nullo citerioris vitae ministro praesente paterfamilias uxori susurrasset in aurem, velut Amphiarao referente aut Marcio, quondam vatibus inclitis, postridie disceret imperator. ideoque etiam parietes arcanorum soli conscii timebantur.